Paige, Auteur à Les Petits Bilingues Nantes - Page 3 sur 4

What’s new !

 

 Nouveauté : Flash Animals

 


L’équipe Les Petits Bilingues et celle de TOPLA se sont associées pour créer les parfaites flashcards !

 

Qu’appelle-t-on flashcards ? 

Ce sont des cartes illustrées en grand format et résistantes.

A quoi servent les flashcards ? 

C’est un outil pédagogique magique, qui permet de découvrir de nouveaux mots et expressions sans traduire en français : il suffit de montrer la carte !

Nos animatrices et animateurs s’en servent pour des activités variées : retrouver une carte manquante, associer des cartes qui vont ensemble, trier et classer, piocher une carte pour faire un mime ou un Pictionary… Il y a mille et une idées de jeux déclinables !

Pourquoi avoir créé nos propres flashcards ? 

L’équipe pédagogique Les Petits Bilingues conçoit ses propres programmes et tout le contenu du Scrapbook (cahier pédagogique).

Trouver l’image exacte pour les objectifs de chaque atelier est un challenge. Nous avons pu imaginer la collection parfaite avec les visuels dont nous avions besoin pour faire progresser les enfants de façon ludique.

Nous avons aussi choisi pour certaines cartes de mettre les textes au verso des cartes, ce qui permet aux enfants de découvrir les mots à l’oral sans être influencés par le mot écrit, particulièrement pour la prononciation. La découverte du mot écrit se fait toujours dans un 2è temps pour les plus grands à partir du CE1.

Qu’ont-elles de plus que les autres ?

Les cartes Flash Animals représentent des animaux et 4 types d’environnements : la savane, la jungle, la forêt et l’océan. Cela permet d’aborder des thèmes comme la protection des espèces, la pollution, la sauvegarde des habitats des animaux aussi bien terrestres que marins.

Quelles sont les autres flashcards ?

Il y a 4 autres jeux de flashcards que nous utilisons régulièrement dans les ateliers de votre enfant :

– les métiers

– la nourriture anglo-saxonne et les prépositions de lieux

– les verbes d’action et les adverbes

– les expressions idiomatiques

Pour les découvrir, c’est par ici

Le point pédagogique : L’apprentissage.

Pédagogie  : mon enfant ne comprend pas tout ! 


  Certains parents nous font part de leur inquiétude : mon enfant ne comprend pas tout en atelier, il se décourage, pourquoi ne traduisez-vous pas certaines choses ?

Dans nos ateliers, nous évitons au maximum la traduction en français. Traduire serait certes plus confortable pour les enfants, mais ne favorise pas un apprentissage spontané.

L’avantage d’exposer vos enfants dès maintenant à l’anglais, alors qu’ils sont justement des enfants, est de profiter de leurs grandes capacités et plasticité cognitives, de la souplesse de leurs muscles audio-vocaux (positionner langue et joues) pour prononcer des sons inconnus. Notre approche vise un apprentissage par immersion, comme le font les bébés et les très jeunes enfants pour acquérir leur langue maternelle. Ce type d’apprentissage a l’avantage de faire progressivement penser les enfants en anglais, très naturellement, et non pas de les amener à traduire du français vers l’anglais et inversement.

Voici les points clés de cet apprentissage sans traduction : 

Immerger

En immergeant les enfants chaque semaine dans un bain d’anglais, sans leur mettre la moindre pression, on expose leur cerveau à un maximum de mots, de phrases, d’expressions. Même s’ils ne comprennent pas tout, les enfants sont sensibilisés à la musicalité de la langue, aux sons qu’ils n’entendent pas dans leur langue maternelle. Progressivement ils vont reconnaître les mots et les phrases qui reviennent souvent. Cette immersion peut se poursuivre à l’extérieur de l’atelier.

Apprendre

Avant de s’exprimer, il faut déjà comprendre. La compréhension est la première étape de l’apprentissage. Et pour cela, les enfants doivent mémoriser du vocabulaire (beaucoup !), qu’ils vont restituer dans une deuxième étape. Il y a donc forcément un temps indispensable entre le début de l’apprentissage et l’expression, qui passe par la reconnaissance de mots, d’expression. Dans nos ateliers, nous utilisons surtout les jeux pour mémoriser, afin que cet apprentissage soit ludique. Pour autant, comme dans tout apprentissage, cela demande un effort pour écouter, se concentrer et du temps. Si nous traduisions pour les enfants, ceux-ci attendraient tranquillement la traduction suivante sans mobiliser leurs capacités cognitives.

Répéter

La répétition fait partie du processus d’apprentissage. Dans le flux des sons que représente une langue, la reconnaissance de mots, puis d’expressions et de phrases, se fait progressivement. Nous utilisons des routines, qui favorisent chez les enfants la reconnaissance des mots qui reviennent fréquemment et l’acquisition progressives d’automatismes.

Penser

Notre objectif n’est pas que les enfants traduisent dans leur tête de l’anglais vers le français ou vice versa mais que petit à petit ils pensent directement en anglais. C’est un long processus, qui demande beaucoup d’exposition à l’anglais.

Pour expliquer un mot, plutôt que de le traduire, nous l’expliquons en anglais aux enfants (mimes, dessins, visuels, association avec un mot déjà connu…). Cela enrichit leur vocabulaire et favorise le fait de penser en anglais. Un des avantages de l’atelier qui se tient dans un centre Les Petits Bilingues est que les enfants vont progressivement apprendre à passer en « mode anglais » quand ils passent la porte du centre.

Passer du mot à la phrase

L’apprentissage d’une langue se fait en acquérant suffisamment de vocabulaire pour être capable de s’exprimer par des mots, puis des phrases complètes. Nous encourageons très vite les enfants à s’exprimer par phrases entières courtes plutôt que par mot.

Encourager

Si votre enfant est déstabilisé parce qu’il ne comprend pas tout en atelier, rassurez le ! Il peut être un peu perdu par moment mais il va entendre, écouter, participer et progresser. Donner une « mauvaise réponse » n’est jamais sanctionné dans nos ateliers. Apprendre une langue est une aventure et un chemin qui prend du temps. Mais que de bonheur au bout du chemin !

Pédagogie : Musique et lecture

 

On savait déjà que les chansons et les comptines sont des outils formidables pour apprendre une langue étrangère.

Pour les bébés, une langue est comme une musique. Ils en appréhendent le rythme, la mélodie avant même d’en comprendre les mots.

Les neurosciences ont montré que les réseaux neuronaux impliqués dans le traitement des informations musicales et ceux impliqués pour le langage sont très proches.

Des mécanismes similaires

Avant d’apprendre à lire, les enfants apprennent à parler. Et pour cela, ils reconnaissent progressivement des sons, des mots qui ont du sens. Cette discrimination s’opère pour apprendre à parler puis dans un deuxième temps pour apprendre à lire. L’acquisition de la lecture passe par la reconnaissance des syllabes, des mots. Ces compétences sont favorisées par une éducation musicale.

Grâce à la musique, le cerveau apprend à traiter les informations auditives, à distinguer les nuances, les notes, les tonalités.

Il y aurait donc un lien important entre les capacités auditives développées grâce à la musique et les capacités des enfants à apprendre à lire.

Des facultés auditives sur-entraînées

Les subtilités phonétiques des langues sont de plus en plus difficiles à percevoir au fur et à mesure que l’on grandit. En d’autres termes, il devient plus compliqué de parler avec un accent natif.

Un cerveau ayant développé ses facultés auditives grâce à la musique aurait ainsi de meilleures chances d’y parvenir.

Pour autant, l’acquisition d’une expression orale du niveau natif doit-il être l’objectif premier dans l’apprentissage d’une langue ?

Une langue étrangère reste avant tout un outil de communication et une ouverture sur le monde.

Pédagogie : entre grammaire et émotions

 L’affectif, clé de l’apprentissage

Apprendre une langue ne se réduit pas à la maîtrise de ses règles de grammaire (une vision particulièrement française !).

Ce qui importe en premier à un enfant va être le plaisir que cet apprentissage lui apporte.  Transmette le goût de la langue, c’est lui transmettre de la motivation. Que ce soit vous, même si vous ne parlez pas parfaitement anglais, que ce soit nos équipes d’animation au sein de son atelier d’anglais Les Petits Bilingues, l’important est de donner envie à votre enfant, de l’ouvrir sur une autre culture, d’éveiller sa curiosité, de partager un moment de plaisir.

Lui donner envie de parler anglais, c’est faire la moitié du chemin !

 

 Et après 7 ans ?

Avant 7 ans, l’enfant n’apprend pas pour faire plaisir à ses parents mais par envie de communiquer avec les autres.

Après 7 ans, le mécanisme d’apprentissage évolue :  l’enfant apprend de façon raisonné, en comparant avec ce qu’il sait déjà. On peut lui expliquer pourquoi l’anglais est important. Le fameux cap des 7 ans avec la diminution de la plasticité du cerveau, ne marque pas pour autant la fin des capacités d’apprentissage. Un enfant peut commencer de zéro et progresser formidablement et d’autant plus quand la motivation et le plaisir sont là.

Pédagogie : Le choix des mots

Nous recevons régulièrement des mots des parents après les stages, pour nous faire part du plaisir de leur enfant à être venu en atelier (c’est ce qu’on préfère !), de leur mécontentement parfois (on réfléchit et on discute pour comprendre) ou de leurs questions sur la pédagogie, ce qui nous inspire souvent pour cette rubrique.

Mots simples, prononciation compliquée

Est-il utile d’apprendre en anglais des mots proches du français ? Par exemple, ‘lion, giraffe, hippo, elephant, rhino, crocodile’ s’écrivent de la même façon ou presque en anglais. Les enfants les connaissent déjà peut-on penser.

Cette vision d’adulte est influencée par le fait que nous lisons les mots. Pour un enfant de 3 à 6 ans, qui ne lit pas encore, la découverte du nom de ces animaux se fait uniquement par l’oreille : il associe une image au son du mot. Et ces mots similaires ne se prononcent pas du tout de la même façon qu’en français, que ce soit le ‘h’ aspiré dans ‘hippo’, l’intonation dans ‘elephant’, la diphtongue dans ‘lion’ etc. C’est donc l’oreille et la prononciation qui vont être travaillées.

Mots simples, structure compliquée

Afin d’équilibrer l’apprentissage, l’équipe pédagogique ajuste la difficulté de l’objectif pédagogique pour chaque séance : sur une séance de découverte du vocabulaire, les enfants vont utiliser des structures qu’ils connaissent déjà pour mémoriser et pratiquer le vocabulaire : ‘I see a spider, I see a ladybug, I see a butterfly…’

Sur une autre séance, les enfants apprendront par exemple une nouvelle structure avec du vocabulaire simple déjà acquis : ‘She has got a brother, she hasn’t got a sister.’  L’objectif sera d’utiliser ‘have got en le conjuguant correctement, à la forme affirmative et négative’.

Pédagogie : Apprendre 3 langues en même temps

Certains enfants apprennent 3 langues dès leur petite enfance : est-ce trop ?

Va-t-il tout mélanger s’il vient à un atelier d’anglais alors que nous lui parlons déjà une autre langue à la maison en plus du français à l’école ? Question fréquente des familles biculturelles qui craignent de saturer le cerveau de leur enfant et qui se demandent s’il ne faut pas même abandonner leur langue native plus rare (russe, polonais, suédois, japonais…) pour ne garder que le français et l’anglais. La réponse est non au contraire, continuez de parler votre langue à la maison !

C’est une richesse pour les enfants de leur offrir dès le plus jeune la découverte de plusieurs langues, et bien sûr l’ouverture sur leur culture maternelle ou paternelle est un grand bénéfice.

Le cerveau des enfants dispose d’une formidable neuroplasticité, c’est-à-dire d’une capacité d’apprentissage, et d’évolution permanente, lui permettant d’apprendre plusieurs langues, à condition de bien identifier une personne (ou un environnement) avec une langue.

Ainsi chaque parent peut parler au quotidien sa langue native avec son enfant (par exemple espagnol pour un parent et anglais pour l’autre) et l’école reste l’environnement d’apprentissage pour le français.

Les ateliers Les Petits Bilingues sont, soit un outil complémentaire pour renforcer l’exposition à l’anglais en dehors de la maison (si l’enfant a un parent anglophone), soit le lieu d’apprentissage de l’anglais en 3ème langue en complément des cours à l’école.

Merveilleux ordinateur, le cerveau dispose de son contrôle interne, qui fait que les différentes langues n’interfèrent pas l’une avec l’autre, tout étant constamment disponibles et activées si l’exposition est quotidienne ou fréquente.

Votre enfant apprend à passer d’une langue à l’autre comme s’il s’agissait d’activer un interrupteur.

Pédagogie : L’empathie a-t-elle sa place dans une relation d’apprentissage ?  

Il y a sans doute autant de réponses que d’enseignants ou de personnes travaillant avec des enfants.

L’apprentissage est encore beaucoup considéré comme une relation qui va de l’adulte à l’enfant, avec l’adulte qui parle, explique et l’enfant qui écoute et enregistre. Toutes sortes de perturbations nuisent à la relation : fatigue, incompréhension, déconcentration, énervement, attitude négative, mots blessants, jugement porté sur les capacités de l’enfant…

Que va apporter l’empathie ? L’écoute des émotions de l’autre, adulte et enfant et leur verbalisation ‘Je suis en colère. Je suis impuissant…’ avec comme objectif immédiat le soulagement de ces tensions et du stress. Cela peut être aussi des gestes chaleureux, une main posée sur l’épaule.

Plusieurs études, comme celle du Professeur Curby en Viriginie en 2013 pendant 1 an sur 24 écoles primaires ont montré que la qualité de la relation professeurs-élèves impacte la réussite scolaire et diminue les problèmes de comportement des élèves.

Dans nos ateliers d’anglais, lorsque nous sélectionnons un nouvel animateur ou une nouvelle animatrice, nous regardons autant son niveau d’anglais, son expérience que sa personnalité et sa capacité à créer un lien avec les enfants. Cette aptitude de connexion émotionnelle est essentielle pour donner aux enfants l’envie d’apprendre !

 

Pédagogie : « spaced repetition », la nouvelle méthode pour apprendre?

La répétition espacée ou « spaced répétition » est une manière alternative de mémoriser des informations de façon beaucoup plus efficace.

Lorsque nous étions élèves ou étudiants et que les examens approchaient, qui n’a jamais essayé d’apprendre ses cours à marche forcée sur une période courte en forçant son cerveau à mémoriser sa leçon d’histoire, de biologie ou le vocabulaire d’une langue étrangère, soit une quantité très importante d’informations en un temps très court (quelques semaines, quelques jours, voire quelques heures) ?

Or, les recherches scientifiques sur le cerveau prouvent que cette méthode est tout aussi pénible qu’inefficace. Le cerveau ne fonctionne pas comme un ordinateur, capable de stocker immédiatement des données importantes sur du long terme.

Parmi les méthodes alternatives de mémorisation, celle de la répétition espacée est une des plus porteuses.

Elle consiste à revenir sur les informations à intervalles réguliers et espacés dans le temps. Cela peut être par exemple d’avoir ses cours sur des fiches organisées en différentes sections et de programmer un planning de révision. Si une fiche est bien retenue lors d’une révision, elle est déplacée dans une section où elle sera revue dans un laps de temps plus long et inversement.

Chez Les Petits Bilingues, un même thème est souvent abordé sur plusieurs séances avec un nombre précis de nouveaux mots pour chaque atelier. Des activités de réactivations des acquis se font tout au long de l’année. Par exemple, les enfants revoient les chiffres lors d’un thème sur les animaux : ‘I see three birds.’ ou bien l’animatrice fera une révision de l’expression ‘What have you got?  I have got….’ avant d’aborder le thème du jour.

Ces réactivations et répétitions dans des environnements pédagogiques variés sont essentielles car les enfants mémorisent tout aussi rapidement qu’ils oublient vite.

La répétition espacée permet d’ancrer les apprentissages sur du long terme. Cette méthode « pirate » la façon dont le cerveau fonctionne, en l’obligeant à revoir des informations à intervalles réguliers. De la même manière que l’on fait travailler un muscle, le cerveau ainsi sollicité régulièrement renforce alors ses connections neuronales et devient plus efficace.

Source : theguardian.com

Les petits bilingues et Colori

Cette année « Les petits bilingues » se lance dans une nouvelle aventure avec un partenaire innovant qui propose d’apprendre le code et la logique sans écran.

Colori est une marque française qui propose d’apprendre à coder avec une méthode dans l’esprit Montessori. Nous avons enrichi notre programme avec celui de Colori car le monde dans lequel nous vivons est éminemment technologique. Il est aussi essentiel d’en maîtriser les notions que de savoir lire, écrire, compter ou parler anglais. Nous proposons donc de rendre accessible à des enfants de 3 à 10 ans l’apprentissage du code (langage de programmation) et de développer par la même occasion de nombreuses autres compétences comme la capacité d’abstraction et de résolution de problème, la pensée logique, les mathématiques, le vocabulaire anglais, etc.

Pourquoi en anglais ?

Apprendre quelque chose de nouveau dans une langue étrangère, c’est réfléchir dans cette langue et donc se l’approprier pleinement. Le format de nos ateliers de 3 heures est idéal pour introduire les activités Colori : il permet de suivre le programme classique de « Les petits bilingues » puis d’introduire celui de notre partenaire en deuxième partie. L’enfant se familiarise alors avec le vocabulaire en lien avec l’animation et comprend en anglais comment coder et réfléchir de manière logique.

Que faisons-nous ?

Nous programmons un robot, nous apprenons les bases du langage binaire, nous nous laissons emporter par une narration passionnante qui nous aide à mieux comprendre ce qu’est une machine. Nous manipulons, expérimentons, jouons et suscitons ainsi l’adhésion et la curiosité de l’enfant pour l’activité proposée. L’enfant fait ses propres choix, il a accès à plusieurs pôles d’activité qui lui permettent de découvrir différents aspects de la technologie, il se dirige vers l’atelier qui l’intéresse le plus et devient alors acteur à part entière de son apprentissage.

Quelques exemples d’activités dans nos ateliers.

Compréhension des écrans sans écran et initiation au langage binaire.

L’enfant réalise une image en plaçant des gommettes ou des mosaïques suivant une logique binaire : 1 ou 0. Il manipule ainsi la notion de représentation par pixel qu’utilisent les écrans.

Programmation du robot Cubetto

Cubetto est un robot en bois produit par la société PRIMOTOYS. Il apprend à l’enfant les bases de la programmation informatique par le jeu et l’imaginaire. Ce jouet est inspiré par la pédagogie Montessori et le langage LOGO. Nos ateliers utilisent ce matériel pour faire vivre à ce drôle de petit cube des aventures palpitantes et ludiques. Inscrivez-vous à Nantes Inscrivez-vous à Rezé

Le point pédagogique : Le bien-être de l’enfant.

Pédagogie : mon enfant se met la pression tout seul

En tant que parents, nous sommes très impatients de voir nos enfants progresser en anglais. Même si nous n’en parlons pas, les enfants le ressentent et pour certains se mettent la pression tous seuls !

Ainsi Emilie* 9 ans venait à reculons à son atelier d’anglais. L’animatrice très étonnée nous dit que son niveau est excellent et qu’elle suit sans difficulté.

En discutant avec Emilie, ses parents ont réalisé qu’elle ne se pensait « pas assez bonne ». Elle se mettait la pression pour être « parfaite ». Une fois rassurée sur les attentes de ses parents, elle a retrouvé le plaisir de venir.

  • Apprendre une nouvelle langue fait sortir de sa zone de confort : un enfant très bon scolairement peut être déstabilisé de ne pas tout comprendre en atelier. Il faut le rassurer : ne pas tout comprendre est normal et les animatrices et animateurs sont là pour l’aider.

Certains enfants sont plus avancés que d’autres mais il n’y a pas de réussite ou d’échec, pas de notes chez Les Petits Bilingues : chacun avance à son rythme !

  • Un atelier Les Petits Bilingues c’est en premier le plaisir de partager des activités interactives avec les autres enfants, avec les animatrices et animateurs. L’aspect relationnel est primordial pour que l’apprentissage soit positif et joyeux et laisse une empreinte durable. Parler une langue, c’est communiquer avec les autres !
  • L’expérience de compétence : chaque atelier se veut un moment de plaisir où votre enfant va découvrir, apprendre, comprendre… Quand il a participé de son mieux, réalisé une nouvelle activité, chanté une nouvelle chanson, compris une consigne, il ressent un sentiment profond de fierté, de satisfaction et de joie.

Et nous aussi !

*Le prénom a été changé.

Les petits bilingues et Kutì Kutì

Les petits bilingues et Kutì Kutì 

Découvrez notre partenaire innovant qui propose de faire pour apprendre !

Kuti Kuti est une marque française qui propose des kits à assembler qui s’inscrivent dans une démarche en éco-conception et qui sont fabriqués en France. Cette startup a su nous convaincre ! Elle propose de rendre accessible à des enfants de 3 à 10 ans la compréhension de phénomènes et de notions scientifiques complexes grâce à une pédagogie ludique basée sur le faire. Elle offre la possibilité d’expérimenter pour mieux comprendre et pouvoir apprendre tout en s’amusant. Le programme de « Les petits bilingues » s’enrichit donc et propose de découvrir les activités conçues en collaboration avec Kutì Kutì dans ses ateliers de 3 heures du mercredi et du samedi.

Pourquoi en anglais ?

Apprendre quelque chose de nouveau dans une langue étrangère, c’est réfléchir dans cette langue et donc se l’approprier pleinement. Le format de nos ateliers est idéal pour introduire les activités Kutì Kutì : L’enfant se familiarise avec le vocabulaire en lien avec l’animation et comprend en anglais comment marche le phénomène observé.

Que faisons-nous ?

Nous créons, assemblons, manipulons et suscitons ainsi l’adhésion et la curiosité de l’enfant à l’activité proposée. Il devient alors acteur et se débarrasse de la peur de se tromper car il est actif et ne s’arrête donc pas lorsque une erreur de manipulation est commise, il persévère  et recommence. L’activité de manipulation déclenche alors un processus cognitif et de réflexion et permet la création d’images mentales.

Quelques exemples d’activités dans nos ateliers.

Avec les 3 à 6 ans :

Nous construisons « VROUM ». C’est une petite voiture qui nous permet d’être initié à l’électricité ! Nous nous interrogeons sur ce qu’est un moteur et sur le fonctionnement d’une dynamo. Les enfants trouvent les réponses à ces questionnements en fabriquant cette petite voiture qui s’allume en roulant !

Avec les 7 à 10 ans :

Avec nos 7 à 10 ans, nous construisons ensemble « Dynamoville », une ville en kit miniature qui nous fait découvrir l’électricité et son réseau. Comment l’électricité se crée-t-elle ? Comment l’électricité arrive-t-elle dans nos maisons ? Les enfants le comprennent en construisant une ville et en l’illuminant grâce à un moulin à dynamo. N’attendez plus et rejoignez-nous vite !

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